Mohammedia, El Jadida, puis Settat. Le trio présente des avantages économiques considérables et des ressources humaines de bon niveau qui lui permettent de compenser ses faibles atouts en termes de qualité de vie.

El Jadida talonne Mohammédia. La ville balnéaire combine un environnement économique incitatif et des atouts indéniables sur le plan de la qualité de vie. Certes, sur ce volet elle ne se place que 8e, même si elle occupe la tête du classement en termes d’offre de santé et d’offre culturelle. Elle se rattrape par sa compétitivité économique puisque la ville dispose du PIB le plus important de sa catégorie. Elle est également dotée de bonnes infrastructures avec une bonne accessibilité routière et ferroviaire, des ressources humaines bien formées ainsi qu’un taux de diplômés important, ce qui lui permet de tenir la comparaison avec les cadors de ce classement.
Arrive ensuite la ville de Settat qui dispose des mêmes atouts économiques qu’El Jadida. Elle génère le 3e PIB de sa catégorie et attire plusieurs grandes entreprises grâce à sa proximité avec l’aéroport Mohammed V, son axe autoroutier et son foncier peu cher.
En queue de classement, on retrouve Larache et Guelmim qui présentent l’attractivité économique la plus faible de leur catégorie. Larache, malgré son potentiel agricole et sa proximité avec Tanger, a un poids économique faible du fait notamment du pouvoir d’achat très limité de sa population. La ville de Guelmim est, quant à elle, trop en retard sur le plan du développement et possède des infrastructures de piètre qualité qui freinent son développement. Cela sans compter le fait que son taux d’analphabétisme est élevé (33,5%) et ses ressources humaines sont peu qualifiées.
De façon globale, les villes moyennes présentent des profils équilibrés entre qualité de vie et compétitivité. En outre, l’attractivité de leur foncier pour les entreprises laisse présager d’un dynamisme économique dans le futur.
En queue de classement, on retrouve Larache et Guelmim qui présentent l’attractivité économique la plus faible de leur catégorie. Larache, malgré son potentiel agricole et sa proximité avec Tanger, a un poids économique faible du fait notamment du pouvoir d’achat très limité de sa population. La ville de Guelmim est, quant à elle, trop en retard sur le plan du développement et possède des infrastructures de piètre qualité qui freinent son développement. Cela sans compter le fait que son taux d’analphabétisme est élevé (33,5%) et ses ressources humaines sont peu qualifiées.
De façon globale, les villes moyennes présentent des profils équilibrés entre qualité de vie et compétitivité. En outre, l’attractivité de leur foncier pour les entreprises laisse présager d’un dynamisme économique dans le futur.
source : http://www.lavieeco.com
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