Des personnalités politiques pesantes se présentent dans la circonscription de Moham-media qui comprend trois sièges.
A Mohammedia, la campagne électorale pour le scrutin du 25 novembre sera rude. Des personnalités politiques expérimentées et pesantes se présentent dans cette circonscription qui comprend trois sièges. Parmi les plus en vue, on cite Saâd-Eddine El Othmani, l’ancien secrétaire général du Parti justice et développement, Mohamed M’Fadel, l’actuel président du conseil de la ville de Mohammedia, qui y représente le Parti authenticité et modernité, ainsi que Abdelhamid Jmahri, membre du bureau politique de l’Union socialiste des forces populaires et directeur de publication du quotidien Alittihad Alichtiraki. Est également en lice Mohamed Atouani, ancien président du conseil de la ville de 2003-2009, du Rassemblement national des indépendants, et Ouahid Jamaï du parti de l’Istiqlal. Ainsi, chaque candidat a sa stratégie pour ces élections. «La ville de Mohammedia compte quelque 100.000 inscrits sur les listes électorales. Parmi ceux-là, on peut compter 20.000 électeurs qui se laissent séduire par l’argent. Moi dans ma campagne, je m’adresserai essentiellement aux 70.000 citoyens qui ont l’habitude de bouder les élections, pour faire basculer la masse», a indiqué à ALM Hamid Jmahri. Selon lui, sa devise principale lors de la campagne sera la lutte contre la corruption, l’amélioration de la gestion du bien public et le renouvellement des institutions. «Dans un contexte géostratégique inquiétant marqué par les révolutions arabes, ces élections sont l’occasion de trouver des solutions pacifiques et politiques afin d’améliorer la situation de la population et lui redonner espoir», a souligné M. Jmahri. Pour sa part, Saâd-Eddine El Othmani a estimé qu’il va faire une campagne positive, basée non pas sur la critique de ses adversaires mais sur un programme détaillé et communiquera aux habitants ce qu’il pourra apporter à leur ville. «Actuellement, je suis en pleine préparation d’un programme pour les meetings et pour établir un maximum de contacts avec les habitants de la ville. Je me focaliserai sur les réels problèmes de la population de Mohammedia, notamment l’environnement», explique M. El Othmani. Mohamed M’Fadel, le candidat PAM, a quant à lui indiqué que sa campagne se basera sur son bilan «positif» à la tête du conseil de la ville. Un mandat qu’il estime marqué par le développement de l’activité économique suite aux efforts fournis pour l’aménagement d’un nouveau quartier industriel de la ville, ainsi que la signature de plusieurs partenariats avec des villes étrangères et la réalisation de la majorité des projets décidés par le conseil de la ville. Dans ce cadre, M. M’Fadel a mis en avant l’augmentation progressive du budget de la ville de 122.987.178 DH en 2009 à 176.324.700 en 2011, expliquant cette augmentation du budget de la commune par la bonne gestion du bien public et la gouvernance en ce qui concerne les finances et les dépenses publiques.
source : http://www.portail-femme.com/actualites/au-feminin/6313-660387666
A Mohammedia, la campagne électorale pour le scrutin du 25 novembre sera rude. Des personnalités politiques expérimentées et pesantes se présentent dans cette circonscription qui comprend trois sièges. Parmi les plus en vue, on cite Saâd-Eddine El Othmani, l’ancien secrétaire général du Parti justice et développement, Mohamed M’Fadel, l’actuel président du conseil de la ville de Mohammedia, qui y représente le Parti authenticité et modernité, ainsi que Abdelhamid Jmahri, membre du bureau politique de l’Union socialiste des forces populaires et directeur de publication du quotidien Alittihad Alichtiraki. Est également en lice Mohamed Atouani, ancien président du conseil de la ville de 2003-2009, du Rassemblement national des indépendants, et Ouahid Jamaï du parti de l’Istiqlal. Ainsi, chaque candidat a sa stratégie pour ces élections. «La ville de Mohammedia compte quelque 100.000 inscrits sur les listes électorales. Parmi ceux-là, on peut compter 20.000 électeurs qui se laissent séduire par l’argent. Moi dans ma campagne, je m’adresserai essentiellement aux 70.000 citoyens qui ont l’habitude de bouder les élections, pour faire basculer la masse», a indiqué à ALM Hamid Jmahri. Selon lui, sa devise principale lors de la campagne sera la lutte contre la corruption, l’amélioration de la gestion du bien public et le renouvellement des institutions. «Dans un contexte géostratégique inquiétant marqué par les révolutions arabes, ces élections sont l’occasion de trouver des solutions pacifiques et politiques afin d’améliorer la situation de la population et lui redonner espoir», a souligné M. Jmahri. Pour sa part, Saâd-Eddine El Othmani a estimé qu’il va faire une campagne positive, basée non pas sur la critique de ses adversaires mais sur un programme détaillé et communiquera aux habitants ce qu’il pourra apporter à leur ville. «Actuellement, je suis en pleine préparation d’un programme pour les meetings et pour établir un maximum de contacts avec les habitants de la ville. Je me focaliserai sur les réels problèmes de la population de Mohammedia, notamment l’environnement», explique M. El Othmani. Mohamed M’Fadel, le candidat PAM, a quant à lui indiqué que sa campagne se basera sur son bilan «positif» à la tête du conseil de la ville. Un mandat qu’il estime marqué par le développement de l’activité économique suite aux efforts fournis pour l’aménagement d’un nouveau quartier industriel de la ville, ainsi que la signature de plusieurs partenariats avec des villes étrangères et la réalisation de la majorité des projets décidés par le conseil de la ville. Dans ce cadre, M. M’Fadel a mis en avant l’augmentation progressive du budget de la ville de 122.987.178 DH en 2009 à 176.324.700 en 2011, expliquant cette augmentation du budget de la commune par la bonne gestion du bien public et la gouvernance en ce qui concerne les finances et les dépenses publiques.
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